Dans les médias [1]
[2] [3]Natascha Jadavji est en 12e année à l'école Crofton House et finaliste dans la section francophone au concours pancanadien de récitation de poésie intitulé Les voix de la poésie/Poetry in Voice, qui se tiendra à Toronto les 14 et 15 mai prochains. Elle en parle avec Myriam Fehmiu.
[4]Dans un contexte où la scolarisation, le décrochage scolaire, et la précarité de la langue française demeurent des enjeux réels, Un concours éducatif et poétique est offert aux étudiants. Myriam Fehmiu s'entretient avec Sepideh Anvar, directrice du concours de récitation Voix de la poésie/Poetry in Voice
[5]Le concours Les voix de la poésie est bien représenté maintenant en Alberta. Il s'agit d'un concours de récitation à l'intention des élèves du secondaire. Michel Charron en a discuté avec Sepideh Anvar, directrice francophone des Voix de la poésie.
[6]Le concours Les Voix de la poésie/Poetry in Voice a couronné mardi, à Toronto, le nouveau lauréat de son concours de récitation poétique. Alexander Gagliano, de l'Upper Canada College, a remporté la grande finale. Il s'est vu remettre une bourse de 5000 $, tandis que la bibliothèque de son école reçoit 2500 $ pour l'achat de livres, dont 500 $ en recueils de poésie.
[7]En tant que style littéraire, on s’imagine habituellement la poésie comme une lecture, passe-temps solitaire et muet. La scène, dans l’imaginaire collectif, est bien plus associée au théâtre et à la chanson. Mais c’est peut-être justement lorsqu’elle fait corps avec l’âme et la chair que la poésie retrouve toute sa puissance évocatrice; et c’est précisément pour redonner au poème sa valeur d’art oratoire que le concours Les voix de la poésie existe.
[8]Anne-Marie Yvon de chez Radio Tam-Tam explique les tenants et les aboutissants des Voix de la poésie. À savourer tout particulièrement : la récitation de la spelling bee de Georgette Leblanc.
[9] [10]Les élèves du secondaire et du niveau collégial du Québec sont invités à apprendre un, deux ou trois poèmes par coeur et à les réciter sur scène. Si un concurrent se révèle être successivement le meilleur de sa classe, de son école, du concours provincial et, ultimement, du concours national, il remportera un prix de 5000 $, somme à laquelle s'ajoutera une bourse de 2500 $ pour son école.
[11]L'UNEQ (L'Union des écrivaines et des écrivains québécois) soutien la formation des générations futures de poètes et de lecteurs.
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